vendredi 24 juin 2011

ford gt

Initialement présentée comme un Concept Car de salon, la Ford GT est devenue réalité en 2005, pour trois années de production limitée. Son prix des plus abordables comparé à celui de ses concurrentes directes la rend terriblement attractive, avec en prime un patrimoine génétique exceptionnel. En effet cette Ford GT est directement déribvée de la fameuse Ford GT40 qui a marqué les esprits dans les années 60 au 24 heures du Mans notemment.


Ford a donc décidé de réinterpréter le mythe de la Ford GT40 40 ans aprés. Malgré les apparences, la Ford GT possède des dimensions qui lui sont spécifiques, puisqu'elle est plus haute, plus large et plus longue que son illustre aînée. Les couleurs et les parements sont évidemment repris des Ford GT40 de courses avec bandes blanches centrales, bandes latérales avec inscription FORD GT. Extérieurement, la Ford GT est une véritable diva trapue, basse au bassin échancré. C'est surtout à ce niveau que les différences avec son aînée sont les plus flagrantes, mais les designers s'en sont tirés avec les honneurs.


Tous les blocs optiques, avant et arrière ont été réactualisés pour correspondent aux standards actuels et les rétroviseurs sont de taille plus actuelle. Particularité conservée de la Ford GT40, la Ford GT conserve le principe des portes qui mordent sur le toit avec une découpe lorsqu'elles s'ouvrent. A l'intérieur on retrouve une présentation très sportive avec des baquets Sparco en cuir. Le dessin de la planche de bord s'inspire lui aussi de son aînée et le levier de vitesse est décalé sur la droite sur le tunnel central.



Pour la motorisation, les ingénieurs de chez Ford ont utilisé un gros V8 revu en profondeur : bloc alu, carter sec, injecteurs doubles, vilebrequin et pistons forgés. Les quatre arbres à cames en tête et les 32 soupapes ont été repris du V8 initial, mais les motoristes ont ajouté au centre du V8 un compresseur Eaton-Rootes. Ce V8 de 5,4 litres associé à une boîte de vitesse à six rapport développe donc la puissance de 500 chevaux et un couple gargantuesque de 680 Nm. Typique des productions US, ce V8 à gros pistons se comporte idéalement dans les régimes intermédiaires. Le sytème de freinage à disques ventilés d'un diamètre impressionnant est confié à Brembo.

Ford GT 2005


Tout le châssis-coque est en aluminium extrudé, et les triangles en aluminium coulé. Le but étant de faire baisser le poids de la Ford GT, tout en conservant un maximum de rigidité, gage d'une bonne tenue de route. Le magnésium est employé pour la traverse avant et sous le tableau de bord incluant le support d'airbag passager. Au final la Ford GT dépase à peine une tonne et demie, avec une répartition des masses de 47/53% et l'empattement long sont propices eux aussi à un excellent équilibre.

Pour la motorisation, les ingénieurs de chez Ford ont utilisé un gros V8 revu en profondeur : bloc alu, carter sec, injecteurs doubles, vilebrequin et pistons forgés. Les quatre arbres à cames en tête et les 32 soupapes ont été repris du V8 initial, mais les motoristes ont ajouté au centre du V8 un compresseur Eaton-Rootes. Ce V8 de 5,4 litres associé à une boîte de vitesse à six rapport développe donc la puissance de 500 chevaux et un couple gargantuesque de 680 Nm. Typique des productions US, ce V8 à gros pistons se comporte idéalement dans les régimes intermédiaires.

Une des plus belle voitures pour moi


koenigsegg ccxr

Avec l'E85, le V8 profite du taux d'octane de 100 pour se muscler. Ainsi, cette version affiche une puissance impressionnante de 1018 chevaux et un couple de 1060 Nm dès 6 100 tr/min. Le 0 à 100 km/h est avalé en 3,2 s et la Suédoise peut rouler à plus de 400 km/h.

Forte de ses 1018 chevaux et de ses 1060 nm de couple, la Koenigsegg CCXR « Flower Power » se plante devant la Bugatti Veyron pour devenir la routière la plus puissante du marché, tout en ayant le potentiel pour être la voiture officielle de tous les écologistes.
L'adaptation au bioéthanol permet une augmentation naturelle de la puissance, notamment grâce à de meilleures capacités de refroidissement des chambres de combustion, mais les ingénieurs suédois ont tout de même déclaré être « surpris » par les 212 chevaux gagnés !